L’adolescence se caractérise par une détérioration de la qualité des problèmes prononcés par la personne.
Ainsi, un enfant agressif à cet âge devient encore plus impulsif et la personne vicieuse peut oublier l’extérieur et entrer complètement dans son monde intérieur.
Les enfants dont le bagage émotionnel est directement lié à la tristesse et à la dépression se trouvent dans une zone de risque particulière. Ils peuvent développer une dépression ou une véritable dépression.
Table des matières
Combien de temps la maladie peut-elle durer ?
La dépression peut se développer rapidement dès le début de la crise d’adolescence. Sa durée est imprévisible et subjective. Elle dépend de nombreux facteurs internes et externes, notamment
- La nature de l’environnement social. Les adolescents qui reçoivent l’amour et l’acceptation de leurs proches ont plus de chances de sortir plus rapidement de la crise.
- La capacité de réflexion. Un enfant enclin à la réflexion (c’est-à-dire capable d’analyser ses pensées et ses sentiments) comprend mieux ce qui lui arrive. Dans ce cas, il est susceptible de trouver des moyens de soulager son état de manière autonome.
- Niveau de popularité parmi les pairs. Pour les adolescents, le groupe de référence (c’est-à-dire important) est précisément celui des pairs. L’autorité dont il jouit auprès de ses amis détermine en grande partie son humeur. Bien entendu, les enfants malhonnêtes ont tendance à développer une dépression à long terme.
- Personnalité et tempérament. Les traits de personnalité innés et éduqués constituent également des facteurs de risque potentiels. Ainsi, un enfant au tempérament mélancolique a d’abord tendance à se résigner rapidement aux expériences négatives. Ce tempérament diffère de celui de l’enfant dur, qui peut s’ouvrir rapidement aux émotions qui le tourmentent et ne pas y rester.
- Système éducatif. Dans certaines familles, il est honteux et indigne d’exprimer ses émotions. Le fait d’être dans une telle famille peut amener les adolescents dépressifs à fermer leurs émotions, ce qui peut conduire à une incapacité prolongée.
Peut-il lutter seul ?
Pour savoir si un adolescent peut faire face seul à son état, il faut distinguer les notions d’état «dépressif» et d’état «dépressif».
Dans le cas d’un état dépressif, il s’agit d’un fond émotionnel réduit. Cet état est situationnel et peut être lié à des événements spécifiques de la vie.
Les symptômes sont similaires à ceux de la dépression, mais se distinguent par le fait qu’ils disparaissent lorsque les circonstances de la vie changent.
La dépression est une maladie et nécessite une intervention extérieure. Ses symptômes sont similaires au cas précédent, mais les raisons de son apparition sont plus profondes et plus fondamentales que de simples circonstances de vie défavorables.
Par conséquent, si vous soupçonnez pour la première fois que votre parent présente des symptômes de dépression, vous devez demander l’avis d’un professionnel.
Il faut bien comprendre que seuls les professionnels peuvent distinguer les états dépressifs de la dépression clinique à l’aide de techniques de diagnostic spécifiques.
Recommandations sur la manière de se débarrasser de la dépression
Il existe un certain nombre de domaines qui peuvent contribuer à atténuer les symptômes de la dépression. Ces recommandations ne doivent pas être considérées comme un substitut à l’intervention médicale, mais peuvent être utilisées comme un outil supplémentaire. Le premier moyen consiste à corriger le mode de vie de l’adolescent.
L’un des symptômes les plus graves de la dépression est l’apathie, une indifférence totale à l’égard de tout. Il est très important de trouver des activités intéressantes et utiles pour eux, au moins à un niveau minimal. Ces activités peuvent être les suivantes
- Le sport ou d’autres activités physiques.
- Favoriser des habitudes de sommeil saines (c’est-à-dire pas de privation de sommeil ou de sommeil excessif).
- Manger régulièrement selon un horaire qui vous convient.
Toutefois, des habitudes saines ne suffisent pas à elles seules à sortir un adolescent d’une crise dépressive. De plus, leur mise en place et leur soutien nécessitent des ressources internes dont les personnes dépressives disposent rarement. Les méthodes et techniques visant à corriger l’humeur peuvent aider à trouver au moins un peu de force et de motivation.
- Travailler sur une forme de créativité préférée (si vous en avez une).
- Tenir un journal personnel.
- Coucher sur le papier les sentiments douloureux.
- Expression des émotions douloureuses par d’autres moyens (sûrs).
En cas de dépression, les gens ont tendance à taire leurs sentiments. C’est particulièrement vrai pour les adolescents, qui ne connaissent souvent pas les moyens sains de révéler leurs expériences négatives. Il est donc doublement important de trouver des solutions qui permettent à l’enfant d’éliminer, au moins partiellement, la charge émotionnelle excessive.
Quelles sont les vitamines qui peuvent les aider à faire face à la situation ?
Les parents dont les enfants sont confrontés à la dépression peuvent rechercher des vitamines et des compléments nutritionnels pour les aider à prendre une décision. La vitamine B peut être utilisée pour favoriser l’état de leur fille ou de leur fils. Les complexes polyvitaminés conviennent également. Ce qu’il faut retenir, c’est que cela ne fait que soulager les symptômes mais ne constitue pas une solution globale au problème.
À qui s’adresser ?
Néanmoins, lorsqu’il s’agit de parents qui ont besoin d’aide avec leurs enfants, il existe un dilemme professionnel auquel il faut s’adresser. Psychologues, psychothérapeutes ou psychiatres ?
Malgré la similitude des noms, ces professions sont importantes l’une pour l’autre. Les psychologues ne travaillent qu’avec leurs normes et n’ont pas le droit de pratiquer la médecine.
Le psychothérapeute est un médecin qui peut à la fois apporter un soutien psychologique et prescrire des recettes médicamenteuses appropriées. Le psychiatre ne s’occupe que de pathologie et la part de la recherche psychologique dans son activité est nettement plus faible.
Dès les premiers soupçons concernant un adolescent, les parents doivent s’adresser à un psychologue. Ce spécialiste pose le diagnostic, apporte son aide et, si nécessaire, réoriente le client vers un psychiatre ou un psychothérapeute.
En outre, les psychologues doivent être plus compétents dans la prise en compte des détails de leur profession et avoir une capacité d’empathie et d’écoute. Au départ, cela est important tant pour les adolescents que pour les parents.
Le travail des psychologues
En règle générale, le travail des psychologues dans le domaine de la dépression chez les adolescents s’articule autour de plusieurs axes
- Contact avec l’enfant. Premières étapes lorsqu’un traitement plus poussé n’est pas possible. Pour commencer à parler de l’individu, l’adolescent doit faire confiance au psychologue et se sentir en sécurité sur le plan émotionnel.
- Entretien de diagnostic. Cet entretien s’adresse à la fois à l’enfant et à ses parents. L’entretien permet au professionnel de clarifier la situation, les symptômes, etc. Il s’agit d’une étape importante dans le diagnostic de la maladie.
- Application des techniques de diagnostic. En général, une liste d’outils de diagnostic est sélectionnée individuellement par le psychologue. En fonction des caractéristiques individuelles de l’enfant, il peut s’agir de tests standardisés ou de méthodes conçues (dessin). Dans la plupart des cas, les deux options sont utilisées.
- Travail sur les états émotionnels. En collaboration avec un psychologue, l’adolescent peut trouver des solutions pour se débarrasser de sa lourde charge émotionnelle. Il s’agit d’une étape importante dans le traitement des états de crise.
- Recherche des causes de la dépression et correction de celle-ci. S’il est possible d’identifier des raisons purement psychologiques à l’état de l’adolescent, le psychologue les corrigera. Cela ne s’applique pas aux raisons psychophysiologiques pour lesquelles les psychiatres et les psychothérapeutes travaillent déjà.
- Réorientation vers un autre spécialiste. Si des symptômes de dépression clinique sont détectés, le psychologue orientera les parents et l’enfant vers un médecin afin d’obtenir un soutien médicamenteux.
Conseils aux parents sur ce qu’il faut faire
La dépression chez les adolescents est difficile à supporter, non seulement par eux-mêmes, mais aussi par leurs parents. Il est important que les proches de l’enfant n’aggravent pas son état. Mais n’oubliez pas votre propre santé psychologique — soyez présent.
Comment se comporter avec l’enfant de son enfant ?
L’essentiel pour le parent est de créer un climat émotionnel sûr et favorable à la maison. Ce qu’il doit faire dépend précisément des caractéristiques individuelles de l’enfant. Quelqu’un est plus à l’aise si le parent participe avec empathie à ses sentiments. Quelqu’un doit s’assurer que les parents ne se contentent pas de recevoir, mais qu’ils ne le «ménagent» pas non plus. Les psychologues peuvent également aider à développer des modèles de comportement optimal avec les enfants.
Comment les soutenir et les réconforter ?
Dans la section consacrée aux méthodes d’entraide des adolescents, les parents se sont vu proposer des options à mettre en œuvre pour apporter tout le soutien possible. Les mères et les pères devraient commencer par leurs propres désirs, tout en évaluant judicieusement si cela sera bénéfique pour l’enfant.
Si un adolescent souffre de dépression, que dit la vidéo sur ce que les parents devraient faire pour le sortir de la crise ?
Que dire ou ne pas dire ?
La dépression n’est pas qu’un état d’âme. Les phrases formelles de soutien telles que «tout ira bien» ou «ne t’inquiète pas» sont au mieux inefficaces et au pire provoquent une réaction négative.
L’adolescent déprimé est celui qui a le plus besoin d’aide. Sa démonstration peut être formulée comme suit :
- «Je t’aime».
- Je suis avec toi si tu veux parler».
- Tu peux rester à la maison.
- Si tu veux être seul, je comprends», etc.
Comment savoir si j’ai besoin d’une aide professionnelle ?
Les symptômes d’anxiété qui nécessitent l’intervention précoce d’un professionnel sont les suivants
- L’adolescent se perturbe lui-même (par exemple en se coupant la main).
- L’enfant a des états de conscience altérés et se plaint d’hallucinations.
- L’adolescent est très indifférent pendant une longue période (plus d’un mois).
- L’adolescent se manifeste par de la cruauté envers ses pairs et le bétail.
En présence de tels symptômes, il convient d’abord de contacter un médecin afin de mettre un terme à cette situation dangereuse pour la vie de l’adolescent et des autres. Un travail psychologique actif peut ensuite être entrepris.
Actions interdites.
Les parents en état d’alerte peuvent prendre des mesures qui ne font qu’exacerber l’état dépressif de l’adolescent. Il s’agit notamment des actions suivantes
- Essayer de divertir l’enfant «par la force».
- Les jets de pierres et les jurons dans l’espoir de «secouer» l’adolescent.
- La dépréciation des préoccupations de l’enfant («tout est bon pour toi, tu n’as qu’à y penser»).
- Recours à des méthodes de soutien ésotériques et religieuses.
Conclusion.
Lorsqu’ils soupçonnent une dépression chez un adolescent, les parents doivent d’abord réfléchir à ce qui pourrait changer dans le climat psychologique du foyer ; la deuxième étape consiste à faire appel à un spécialiste pour obtenir un diagnostic approprié.
Une approche intégrée fonctionnera tôt ou tard et contribuera à guérir la dépression. La combinaison de la chaleur émotionnelle des proches et de l’aide d’un psychologue compétent sortira tôt ou tard l’adolescent du marécage des expériences dépressives. L’essentiel est de ne pas désespérer mais d’accepter le fait que le problème a été résolu.
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