La peur des grands mots porte un nom très complexe et difficile à comprendre : l’hippostromontomoskippedalophobie (Hippopotomstrosquippedaliophia).
Les experts estiment que ce terme n’a pas été inventé par hasard si le patient a ressenti une peur panique en le prononçant — dans la plupart des cas, cela confirme l’existence d’une phobie des mots longs.
L’American Psychiatric Association ne reconnaît pas officiellement ce type de peur comme indépendant et l’attribue à la phobie sociale. Les experts affirment qu’un habitant de la planète sur 20 souffre de hut-potomontoskipedalophobie.
Table des matières
Définition du concept.
La phobie des taches de Kabant est une forme remarquable de trouble humain, une variété de phobie sociale où l’on éprouve une peur quasi pathologique à la lecture de mots complexes ou longs.
Le terme est présent dans les ouvrages de référence généraux et spécialisés en psychologie et dans de nombreux travaux scientifiques, mais officiellement l’American Psychiatric Association ne le reconnaît pas comme une variété indépendante de phobie.
En psychologie, ce type de phobie est défini comme une peur irrationnelle, renforcée et constante des mots complexes ou longs.
Cette peur est plus spécifique aux enfants et aux adolescents. L’hippopotomontomoschipedalophobie se retrouve également chez les personnes qui sont souvent obligées de participer à des discussions et à des réunions. Il s’agit notamment des professeurs d’université et des médecins.
Les personnes exposées à cette peur peuvent ressentir une tension non seulement à la prononciation de termes complexes, mais aussi à leur lecture.
Important ! Il n’existe aucune justification scientifique à la terminologie du champignon Kabant. Il pourrait s’agir d’un simple mème ou d’une plaisanterie. On ignore actuellement qui a été le premier à faire cette remarque.
Ce type de phobie est très personnalisé. Certains malades ont peur des mots longs et complexes ou des mots qu’ils ne comprennent pas. Les phobies sont différentes selon qu’il s’agit de lire des mots de longueur moyenne ou qu’ils apparaissent à des personnes.
Principaux signes de la phobie des grands mots :
- Peur irrationnelle et permanente causée par les grands mots.
- Refus de lire par peur de voir de tels mots.
- Peur de lire des articles scientifiques contenant des termes complexes.
- État de panique de la personne lorsqu’elle déclare à des gens des mots difficiles.
Place des phobies en psychologie et en psychiatrie.
La coloration de la peau de Cabant est une phobie spécifique rare qui est traitée par des psychothérapeutes et des psychologues professionnels.
Dans ses formes les plus faibles, des séances d’hypnose avec un psychothérapeute professionnel qui possède des techniques spécifiques aident. Pour les troubles complexes négligés, un traitement médicamenteux est nécessaire et ne peut être dispensé que par un psychiatre.
Synonymes et concepts connexes
La peur des mots longs peut être liée à d’autres peurs, tandis que la lecture et l’écriture ont des concepts voisins de ces types de phobies.
- La bibliographie est une peur des livres.
- La mythologie est une peur des légendes, en particulier des légendes anciennes, qui peut être déclenchée par la peur d’extraits inconnus.
- La dodécafobie est la peur des mots composés de 12 lettres.
- L’aybohophobie est la peur des mots/phrases qui se lisent de la même façon dans des sens différents, par exemple madame.
- L’akribophobie est la peur de mal interpréter le sens du texte lu.
- La xénoglossophobie est la peur d’une langue inconnue.
- La gnosophobie est la peur de la connaissance.
Raisons du développement.
Les psychothérapeutes pensent que la phobie rare à laquelle appartient la xénoglossophobie cabantophobie survient en raison d’une réponse spécifique dans la partie du cerveau responsable de la peur.
La peur des grands mots n’est pas innée. Elle a toujours été associée à certaines situations désagréables de la vie, dont les «compagnons» étaient les grands mots.
Par exemple, des accidents et d’autres traumatismes mentaux ou physiques étaient possibles. Pendant ce moment de stress, le cerveau humain «accroche» les mots longs, ce qui peut entraîner des réactions de stress répétées à l’avenir.
Il existe plusieurs causes fondamentales et facteurs de risque pour le développement d’une pathologie.
- Par exemple, les personnes qui ont été incapables d’apprendre des mots longs à l’école et dont on s’est moqué dans leur enfance.
- La génétique, les personnes dont un parent souffre également de cette phobie.
- Environnement : les voisins, les amis et les équipes peuvent contribuer au développement de cette phobie chez l’homme, en particulier après des expériences traumatisantes.
- Fonction cérébrale : changements dans l’activité cérébrale humaine.
Importance ! Les psychothérapeutes estiment que la phobie des grands mots est due à un complexe personnel de doute de soi, qui conduit à l’émergence de peurs irrationnelles. En règle générale, ces peurs sont liées à des problèmes d’éducation dans l’enfance.
Qui est prédisposé ?
Personne ne naît avec une phobie verbale majeure. Il s’agit de peurs apprises, issues d’événements traumatisants. La plupart des personnes qui en souffrent ne savent pas quand leur état de panique a commencé et quelle en est la cause.
La vulnérabilité à cette phobie peut être héréditaire ou génétique, mais le type de phobie peut varier d’une famille à l’autre. Surtout, les enfants et les adolescents.
De nombreux experts estiment que la phobie de l’inhalation de taches d’hippophobie est également liée à l’éducation humaine. Peut-être que les mots complexes et de grande taille n’étaient pas utilisés dans le programme scolaire ou que les familles ne les utilisaient pas à la maison.
Une des raisons possibles du développement de cette phobie est le fait d’avoir mal prononcé des mots longs, de s’être moqué des enfants qui, à l’école, lisaient des extraits devant la classe. Les attaques de panique peuvent également survenir à l’âge adulte dans des situations similaires, par exemple lors d’une présentation au travail.
Pathologie Symptômes.
Les signes sont émotionnels sous la forme d’une peur irrationnelle, d’une anxiété, d’une panique, d’un corps accompagné par le patient
- Maux de tête ;.
- Tremblements dans le corps ;.
- Transpiration abondante ;.
- Évanouissement et vertiges ;.
- Bouche sèche ;.
- Respiration rapide ;.
- Pouls élevé ;.
- Dépression nerveuse due aux pleurs et aux cris.
Attention ! La thyrophobie structurée des hippopotames étant très rare chez l’adulte, il est important de s’adresser à un psychothérapeute spécialisé pour établir un diagnostic précis, car de tels symptômes peuvent se manifester chez l’homme et dans d’autres phobies.
Le diagnostic.
En règle générale, les adultes s’adressent rarement à des spécialistes pour ce type de phobie. Ils modifient plutôt leurs conditions de travail et de vie afin de ne pas se retrouver dans des situations de vie avec un langage déclaré.
S’ils n’y parviennent pas et que les crises de panique sont de plus en plus fréquentes, ils doivent s’adresser à un thérapeute.
Pour établir un diagnostic précis, les médecins doivent identifier les symptômes conformément au Guide international de diagnostic DSM-5 au moyen d’une enquête. Ils doivent également étudier les antécédents psychiatriques, médicaux, familiaux et sociaux du patient.
Étant donné que les associations psychiatriques et médicales ne reconnaissent pas officiellement la kipédalophobie hippophobe et qu’elle n’est pas répertoriée dans le DSM-5, il convient d’utiliser la liste des critères diagnostiques des phobies adjacentes.
Dans ce cas, un diagnostic différentiel est effectué si les symptômes actuels peuvent être expliqués par d’autres troubles. Le fait que la peur se manifeste par des mots particulièrement grands distingue cette phobie des troubles similaires.
Comment puis-je surmonter moi-même cette peur ?
Attention ! La phobie des grands mots peut provoquer des troubles physiques et psychiques chez une personne. Par conséquent, une dépression survient souvent lorsqu’une personne est incapable de faire face à ses problèmes par elle-même.
C’est pourquoi les experts ont élaboré un certain nombre de recommandations dont la mise en œuvre peut aider une personne à faire face à la cabantomosquipedalophobie par ses propres moyens. Voici les principales d’entre elles qui doivent être appliquées en cas de crise de panique liée à une rencontre verbale importante
- Retrouvez rapidement votre respiration après une crise d’essoufflement, détendez votre corps et calmez vos tremblements.
- Travaillez votre prononciation, lisez des virelangues et demandez l’aide d’un orthophoniste.
- Vous devez mémoriser des termes complexes tous les jours. Il peut être très efficace de le faire devant un miroir.
- Modifiez votre mode de vie, excluez la caféine de votre alimentation et les autres substances anxiolytiques stimulantes et adoptez un régime alimentaire sain.
- Apprenez à décomposer les mots complexes en syllabes.
- Remplacez les mots longs par des synonymes courts. Pour la validité, les appareils électroniques modernes tels que les ordinateurs, les tablettes et les smartphones peuvent être utilisés.
Le meilleur traitement de l’hippostromontomoskipedalophobie repose sur une méthodologie d’autorégulation sous forme de méditation et de respiration profonde.
Les remèdes apaisants ne font qu’atténuer les symptômes de l’anxiété, mais n’en éliminent pas les causes. C’est pourquoi les médecins ne prescrivent des médicaments que dans des cas extrêmes, lorsque les autres traitements n’ont pas donné de résultats.
Quand dois-je m’adresser à un spécialiste ?
Chez certaines personnes, l’anxiété causée par ces phobies est si forte qu’elles sont obligées de consacrer beaucoup de temps et d’efforts à éviter les éléments déclencheurs qui les provoquent. Parfois, cela interfère avec les relations familiales ou professionnelles.
Dans ce cas, un traitement doit être envisagé. Tout d’abord, vous devez prendre contact avec un thérapeute local. Il pourra évaluer le problème et vous expliquer quels sont les traitements disponibles. Le traitement le plus efficace de la phobie des grands mots est la psychothérapie.
Quelles sont les méthodes de traitement utilisées ?
Voir aussi ! La psychothérapie a pour but d’améliorer la qualité de vie du patient, de sorte que la peur des grands mots ne limite pas son espace vital. Au cours du traitement, le patient apprend à gérer ses réactions, ses pensées et ses sentiments.
Au fil du temps, il remarquera que son anxiété et sa peur diminuent et qu’il est capable de prendre sa vie en main de manière indépendante. Le traitement doit être spécifique pour réduire les principales phobies verbales.
Le traitement le plus courant de la kipédalophobie hippopotame :
- La thérapie d’exposition vise à modifier les réactions du patient face aux objets à l’origine des crises de panique.
- La thérapie cognitivo-comportementale consiste à agir sur les peurs en combinaison avec d’autres méthodes. L’objectif est d’apprendre au patient à faire face à la phobie, à développer des compétences et un sentiment de confiance sans céder à la peur.
- Dans cette forme de phobie, les médicaments sont rarement utilisés, sauf dans les premiers stades. Il peut s’agir de bêta-bloquants et de sédatifs.
- L’hypnothérapie aide de nombreux patients à faire face à leur phobie et à la surmonter. Dans la plupart des cas, sous la direction d’un psychothérapeute, l’hypnothérapie fait appel au comportement du phobique par le biais d’un processus contrôlé de visualisation. Le patient imagine une rencontre avec l’objet de sa phobie et pratique ensuite des méthodes d’auto-satisfaction.
- Visites à des groupes de soutien pour communiquer avec d’autres personnes confrontées à la même phobie.
- Techniques respiratoires et de relaxation, y compris l’exercice et le yoga.
Prévention de l’évolution ou de l’aggravation.
Pour prévenir l’hypotomontomotomosquipdalophobie, il est important d’apprendre aux patients à prononcer de longs mots avec des amis plutôt qu’avec des ennemis.
Il existe de nombreux ouvrages intéressants et passionnants sur l’histoire des mots. Comment ils sont apparus, qui les a inventés et comment ils ont évolué au fil du temps.
La clé pour surmonter la peur de l’inconnu est d’essayer de le comprendre. Dans le cas présent, cela peut se faire par une étude délibérée du mot.
En outre, les personnes souffrant de cette phobie doivent savoir quoi faire pendant le processus d’aggravation. Lorsqu’elles lisent des mots ou des phrases difficiles, elles ont recours à des exercices de respiration simples et efficaces lorsque la peur de paniquer se manifeste.
- Respirations longues et profondes — 3 sec.
- Retenue de la respiration — 1 seconde.
- Expiration lente — 6 secondes.
Important ! Lors de cet exercice, le diaphragme doit être utilisé et la poitrine doit rester immobile. Le thérapeute établit pour chaque personne un nombre personnel de répétitions de l’exercice respiratoire. En règle générale, il est effectué jusqu’à ce que l’état physique et mental de l’être humain soit revenu à la normale.
Résultats et prévisions
La phobie de l’inhalation de produits antimicrobiens, avec la participation d’un psychothérapeute et d’un médecin psychiatre compétents, avec un traitement individuel opportun et la participation active du patient, est complètement guérie.
Les médicaments pour le traitement de ces peurs ne sont pas utilisés dans la pratique et constituent un soutien psychologique très efficace. Souvent, plusieurs séances avec un psychothérapeute suffisent pour obtenir une guérison complète.
Pour surmonter une peur verbale de longue date, il s’agit avant tout de déterminer et d’évaluer les facteurs qui ont conduit au développement de la phobie. Le psychothérapeute aide ce patient.
Ensuite, il s’agit de s’habituer progressivement aux mots longs. En commençant par une simple contemplation du mot, ils contemplent son sens et se tournent enfin vers sa prononciation.
Cette accoutumance progressive permet de réduire la panique jusqu’à ce que la personne se sente totalement à l’aise et puisse les prononcer en toute confiance.
Conclusion.
La cavomosquipedaphobie est une peur des grands mots, l’une des phobies les plus bizarres chez l’homme. Lorsqu’il rencontre des mots longs et difficiles à prononcer, par exemple dans les affiches publicitaires, il déclenche une crise de panique qui provoque une détresse physique et psychologique intense.
Ressentant une véritable peur, il essaie d’éviter de telles situations et de limiter son espace vital. Cette phobie est curable, mais dans la plupart des cas, elle nécessite des séances de psychothérapie.
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