La littérature psychologique montre que les conseils se livrent souvent à l’autoréflexion. Selon les experts, ce processus doit être présent dans la vie de chacun. Mais qu’est-ce que l’autoréflexion ? Pourquoi est-elle si importante dans la vie de tous les jours ?
Table des matières
- Déterminer les concepts de réflexion et d’autoréflexion
- Pourquoi les gens ont besoin de l’autoréflexivité et ce qu’elle leur apporte
- Comment sortir de l’autodigestion sans fin et se laver de manière productive ?
- Manque d’attention et de soins dans l’enfance
- La violence psychologique dans l’enfance
- L’auto-organisation est impossible.
- Problèmes de communication, introversion profonde
- Distribution au perfectionnisme
- Traits de personnalité. Les entrepôts de drogues.
- Et s’il n’y a pas d’autoréflexivité ?
- Relation entre la connaissance de soi et l’autoréflexivité.
- L’autoréflexion dans différentes spécialisations
- Conclusion.
Déterminer les concepts de réflexion et d’autoréflexion
L’autoréflexion est souvent utilisée comme synonyme de réflexion. Il ne faut cependant pas s’y tromper. La réflexion est un concept plus large.
Qu’entend-on par réflexion ?
En psychologie, la réflexion ne concerne pas seulement la réflexion personnelle, mais aussi la réflexion sur l’individu, les personnes qui l’entourent et la situation dans laquelle il se trouve. C’est la compétence d’une personne qui se manifeste dans l’auto-réflexion et la connaissance de sa vie personnelle, de son comportement, de ses actions et de ses comportements qui sont analysés et évalués dans le cadre du processus de réflexion.
En philosophie, l’autoréflexion est une sorte d’activité mentale d’une personne qui se concentre sur son comportement, la culture de l’ensemble de la personne et ses principes de base.
En d’autres termes, une personne regarde à l’intérieur de son âme et examine ses traits individuels et ses comportements dans différentes situations et environnements quotidiens. La réflexion est lourde et liée à plusieurs domaines à la fois.
- Intellectuel ;.
- Spirituel ;.
- Émotionnel ; et
- évaluatif.
Il ne faut cependant pas s’y tromper. Ce concept n’a rien à voir avec la réflexion, qui est la réponse d’une personne aux effets des stimuli externes. Il est identique au concept d’autocritique. Les personnes étudient, comprennent et évaluent soigneusement leur propre comportement. Le processus n’est pas agréable. Sans lui, cependant, la personnalité ne peut être pleinement développée.
En psychologie, la réflexion est divisée en deux niveaux
- La cognition. Il s’agit de l’étude du monde intérieur et de sa corrélation avec les normes, les standards et les exigences adoptés par la société.
- L’émotionnel. Elle s’exprime dans l’expérience des attitudes de l’entourage. Les gens s’intéressent à leur propre conscience et à leur propre comportement.
La présence d’un niveau émotionnel est une différence majeure pour la réflexion et l’introspection cohérente. De nombreuses personnes ne veulent pas s’engager consciemment et délibérément dans la réflexion. Cela n’a rien à voir avec la paresse. Le processus de réflexion ne provoque pas toujours des émotions positives. Il est parfois associé à la déception, à des sentiments d’infériorité, de honte et de regret.
Les réflexions trop difficiles ne mènent pas non plus à de bonnes réflexions. Il en résulte une auto-fragmentation et un auto-diagnostic. Elles provoquent du stress, des névroses et même des dépressions. Pour éviter de telles conséquences, il faut maintenir un équilibre entre les parties cognitive et émotionnelle de la réflexion.
Le concept d’autoréflexion
L’autoréflexion est le reflet de sa propre personne dans différentes situations par le biais de la prise de conscience. Dans le processus d’autoréflexion, une personne semble se regarder dans un miroir et décrit tout ce qu’elle voit. Il s’agit d’une méthode d’évaluation de soi, de ses méthodes de travail et de ses processus d’apprentissage. En termes simples, réfléchir signifie penser à tout.
La réflexion contextuelle et la formation de l’écriture autoréflexive sont importantes pour toute forme de compréhension ou de développement personnel.
La personne en tant que créature rationnelle est inhérente à sa capacité à réfléchir sur des événements particuliers et à «refléter sa réflexion». Il existe quatre situations clés dans lesquelles une personne peut être comprise
- Connaissance de la connaissance (par exemple, la personne connaît la table de multiplication et est consciente de ce fait).
- Ignorance de la connaissance (par exemple, un individu connaît de nombreux mots étrangers qu’il entend ou lit dans différents endroits, mais il n’est pas conscient de cette connaissance).
- Connaissance de l’ignorance (par exemple, une personne ne sait pas où se trouve le mont Everest et est consciente de son ignorance).
- L’ignorance de l’ignorance (par exemple, une personne ne connaît pas les peintures écrites par Raphaël Santi et, en même temps, elle ne soupçonne même pas son ignorance parce qu’elle n’a jamais entendu parler de Santi).
Pourquoi les gens ont besoin de l’autoréflexivité et ce qu’elle leur apporte
L’autoréflexivité est nécessaire pour les raisons suivantes
- Elle est la base de l’auto-apprentissage. Si la capacité à réfléchir sur sa personnalité n’est pas présente, elle ne se développera pas. Dans certains cas, cela peut être le signe d’une psychopathologie.
- Elle permet de surestimer les perspectives qui sous-tendent la socialisation. Elle permet à l’individu de se familiariser avec les normes et les valeurs sociales.
Quel est le potentiel d’autoréflexion ?
- Apprendre aux gens à se comprendre eux-mêmes. En réfléchissant, une personne se comprend plus clairement. Elle réfléchit et se compare aux autres. Il est important que cela ne se transforme pas en une comparaison banale. Une bonne approche permet de mieux comprendre les autres, leurs objectifs, leurs comportements et leurs actions.
- Elle permet d’analyser les expériences personnelles. Les réussites comme les échecs. Il est important de se rappeler que les expériences négatives ont également de la valeur. Parfois plus que les expériences positives.
- Facilite la découverte des forces de caractère et des faiblesses.
- Leur apprendre à développer leur réflexion.
- Les valeurs et les jugements personnels peuvent être surestimés. Le caractère personnel n’est pas statique. Il change ; les objectifs louables peuvent perdre de leur pertinence. À première vue, cela n’est pas évident. L’autoréflexion donne l’occasion de reconsidérer sa position par rapport à certains événements et de changer de tâches et d’objectifs. C’est l’occasion de s’améliorer.
- Libérer l’intuition. Les gens apprennent à utiliser leur intuition dans la pratique.
- Cela permet de se débarrasser de mauvaises habitudes. Par exemple, dans le processus d’autoréflexion, on peut se rendre compte qu’une alimentation malsaine a un impact négatif sur la santé ou qu’un mauvais éclairage a un impact négatif sur la vue.
- Éliminer les obstacles excessifs qui empêchent la révélation des possibilités internes. Ces obstacles résultent d’une gêne excessive, de la timidité et de difficultés de communication.
- Développer la capacité à prendre des décisions délibérées et rationnelles.
Si un seul des points et réalisations énumérés est mis en œuvre, le fait d’atteindre certains objectifs de vie peut au moins vous rendre plus confiant. L’estime de soi s’en trouve renforcée.
Comment sortir de l’autodigestion sans fin et se laver de manière productive ?
En psychologie, l’autoréflexion est une excellente méthode de développement de la personnalité, d’amélioration de soi, de changement et d’amélioration du monde à travers ses activités. C’est un moyen puissant de grandir en tant que personne, de s’améliorer et de mieux réussir dans la vie.
Cependant, malgré ces perspectives ensoleillées, les gens rencontrent de nombreuses difficultés psychologiques. Quelles en sont les raisons ? La réponse est que l’autoréflexivité est souvent confondue avec l’autodénigrement. C’est là le principal problème.
Qu’est-ce qui fait que les gens commencent à se regretter ou à remplacer les activités productives par l’autoflagellation ? Les causes de ce phénomène et les moyens de les combattre sont nombreux.
Manque d’attention et de soins dans l’enfance
Dans la plupart des cas, en l’absence d’amour et d’affection, l’enfant se sent non désiré, abandonné et seul. Un sentiment d’infériorité, une sorte de carence, poursuit la personne tout au long de son parcours de vie, la privant de la possibilité d’une évaluation objective d’elle-même. L’objectivité est pourtant la base de l’autoréflexivité. Les distorsions affectent tout, des compétences aux ressources personnelles. Il n’est pas surprenant que les personnes ayant une faible estime d’elles-mêmes soient privées de pensée productive.
Dans cette situation, la solution au problème est un ensemble de deux voies
- L’auto-hypnose. Chaque jour, vous trouvez des qualités personnelles dignes d’éloges, simplement en disant des choses positives à votre sujet.
- Définir des objectifs de vie et les atteindre.
La violence psychologique dans l’enfance
Les conséquences sont les mêmes que dans les cas précédents. Les conséquences sont souvent encore plus graves. Cela est dû au fait que l’enfant, dans ces situations, est forcé de reconnaître qu’il n’est pas important. Parfois, cela représente plus de dangers que la violence physique.
Un tableau similaire peut être observé à l’âge adulte en cas d’instabilité mentale. L’époux désespéré et profond, l’épouse hystérique et conflictuelle, le parent qui se défile et qui s’occupe d’eux.
Les méthodes de lutte contre le problème sont les mêmes que précédemment. La condition principale, cependant, est la suppression de l’environnement «oppressif». Ce n’est qu’à cette condition que l’on peut parler d’autoréflexivité efficace.
L’auto-organisation est impossible.
Elle est caractéristique des personnes présentant certains traits de personnalité. Il s’agit notamment de la schizophrénie et de l’hystéroïde. Dans ces situations, l’autoréflexivité est pathologique, incohérente et confuse. Les personnes de ce type passent d’une pensée à l’autre de manière aléatoire. Cela conduit à un manque de recherche et à une perception de la qualité et de l’habitude.
Dans cette situation, des manifestations inférieures sont possibles. Cependant, elles sont moins fréquentes que dans le cas précédent.
Ici, une organisation du caractère pour témoigner est nécessaire pour une réflexion efficace. Pour une systématisation et une analyse ordonnées des événements de la journée en cours, il convient d’allouer 15 minutes par jour. L’essentiel est de ne pas en faire trop — il n’est pas nécessaire de le faire tous les jours. Sinon, ce processus se transforme en une «autorégulation» banale.
Problèmes de communication, introversion profonde
L’incapacité à établir des relations sociales constitue un processus secondaire. Les introvertis ne ressentent pas le besoin d’être introvertis.
Souvent, ils s’accommodent facilement de l’autoréflexivité. Cependant, ils sont négatifs. En règle générale, ils recherchent leurs propres défauts. Ils essaient cependant de comparer et de systématiser correctement la situation,
- Vous avez des difficultés de communication ? Ce n’est pas grave — ne consommez pas d’alcool.
- N’abusez pas de l’alcool. Mais ils ont bu beaucoup d’alcool et il ne leur est rien arrivé.
- J’ai des problèmes avec mon dictionnaire. Mais je ne suis pas sociable, je n’en ai pas du tout besoin.
L’autoréflexivité négative n’apporte pas de résultats positifs.
Il est possible de surmonter cette situation. Il suffit de systématiser le processus de compréhension. Il faut poser les bonnes questions. Un point important est la structure de l’action.
Il vaut la peine de se poser seulement quatre questions par jour Quelle est mon opinion sur la journée en cours ? Quelles sont mes actions positives et négatives de la journée écoulée ? Quels sont les défauts de mon comportement de la journée ? Quelles sont mes actions futures pour demain ?
Au fil du temps, la liste des questions peut être élargie. Pour comprendre, il convient d’utiliser les habitudes, les sentiments, les pensées et les comportements.
Distribution au perfectionnisme
Les perfectionnistes n’ont pas la capacité de réfléchir. Ces personnalités réagissent douloureusement à leur capacité à se critiquer facilement. Elles approfondissent instantanément leur «auto-ajustement» et se trouvent des défauts.
La poursuite de ces faux idéaux les prive de la possibilité d’agir. C’est là le principal problème.
Aujourd’hui, je ne peux pas apprendre à patiner. Et cela signifie que je n’apprendrai jamais. Par conséquent, je ne devrais même pas continuer à m’entraîner.
Dans cette situation, il faut apprendre un axiome. L’idéal auquel les perfectionnistes aspirent tant n’existe pas ! Les erreurs font partie intégrante de la pratique. Elles sont une partie naturelle et intégrante du processus éducatif. Elles doivent être analysées et résolues afin d’éviter de tels défauts.
Le perfectionnisme est un trait de caractère. Il est impossible de l’éliminer complètement. Dans de telles situations, il est nécessaire de recourir à l’aide qualifiée d’un psychologue.
Traits de personnalité. Les entrepôts de drogues.
Plutôt que d’autorégulation, il convient ici de parler d’autocompétence. Le désir d’auto-entretien et d’autoréflexivité chez les narcissiques est plus élevé que chez les personnes ayant d’autres types d’entrepôts de personnalité. Prenant le besoin constant de reconnaissance, ils se comportent souvent de manière illogique. Et cela nécessite beaucoup d’erreurs. C’est un terrain idéal pour l’autoflagellation. Le narcisse s’appuie sur lui et, en même temps, fait preuve de sympathie à son égard.
Si l’attention est vive, le processus se transforme en un comportement théâtral et un environnement narcissique est mis en évidence. Pour corriger ces problèmes, le processus d’autoréflexion doit être organisé correctement. Ce n’est pas difficile. Il suffit de se poser les mêmes questions un jour plus tard. Si nécessaire, la liste doit être complétée.
Un psychologue vous aidera à vous débarrasser des qualités égocentriques les plus «enracinées». Tout le monde n’a pas tendance à se maîtriser. C’est notamment le cas des personnalités trop émotives comme les hystériques et les jonquilles.
Toutes ces raisons peuvent être corrigées. Cela dépend de la détermination et du désir de travailler sur soi.
Et s’il n’y a pas d’autoréflexivité ?
Le processus d’autoréflexivité est caractéristique de toutes les personnes, mais à des degrés divers. Il dépend du psychotype, de l’entrepôt de la personnalité, des différentes priorités de la vie, du niveau général de développement spirituel et intellectuel.
Souvent, les personnes d’un niveau intellectuel plus élevé, celles qui se situent au-dessus de la pente de l’autoréflexivité.
Cependant, l’autoréflexivité peut être absente. Quelles sont les causes de ces phénomènes ? Que faut-il faire dans ce cas ?
- Le manque d’éducation. L’enfant ne reçoit pas les informations nécessaires sur ce qui est bon et ce qui est mauvais. Pire encore, l’enfant ne fait pas preuve d’un comportement généralement accepté. Ne pas s’intéresser à l’enfant. Cela ne peut se faire sans un soutien psychologique qualifié. 15 minutes devraient être systématiquement consacrées à l’analyse des événements de la journée en cours.
- Garde excessive. L’enfant étouffe littéralement de protection et d’amour. Dans ce cas, le besoin de reconnaître son comportement disparaît. L’enfant ne comprend pas les compétences et les aptitudes à changer son comportement qui le suivront à l’âge adulte. La manière de combattre ce problème est similaire à la précédente. Il est également nécessaire d’effectuer le travail avec l’aide d’un psychologue qualifié.
- La négligence éducative. Dans ce cas, personne ne s’occupe de l’éducation de l’enfant. C’est le point culminant d’une éducation déficiente. Ce type de problème doit être traité par le biais d’un conseil psychologique. En outre, ils doivent être éliminés dès l’enfance. À l’âge adulte, c’est très difficile.
- Extraversion. Sociabilité excessive, qui tourne souvent à l’obsession et au sujet de conversation. Dans ce cas, l’attention de la personne doit être concentrée sur les avantages de l’autoréflexion. Perspectives de communication productives, établissement de liens sociaux.
Relation entre la connaissance de soi et l’autoréflexivité.
La connaissance de soi est la connaissance et l’analyse par un individu de ses aspects spirituels et physiques personnels, sa propre recherche. La connaissance de soi prend sa source dans l’enfance et se développe tout au long de la vie. Elle s’améliore par étapes, en fonction de la réflexion de la connaissance de soi avec le monde environnant.
Les principales étapes du processus sont les suivantes
- L’analyse des activités et des comportements personnels, basée sur la comparaison avec les autres.
- Empirisme. Il se divise en deux catégories : l’évaluation externe (réalisée à l’aide d’enregistrements audio et vidéo) et l’évaluation interne (auto-observation des sentiments et des émotions face à différentes situations et événements).
- L’auto-évaluation (rapport personnel interne).
Le développement de la connaissance de soi est étroitement lié à l’autoréflexion de l’individu et contribue à l’amélioration de la conscience de soi et à la formation de l’intelligence perceptive sociale.
L’autoréflexion dans différentes spécialisations
L’autoréflexion revêt une grande importance dans la formation et le développement des compétences de communication professionnelle des professionnels dans différents domaines d’activité.
L’autoréflexion en psychologie
En psychologie sociale, le concept d’autoréflexion est très répandu dans l’étude et l’analyse des problèmes de communication et de perception interpersonnelle. Il concerne également la communication et la perception interpersonnelles.
En psychologie sociale, l’autoréflexion fait référence à la compréhension qu’a une personne de la manière dont elle est perçue par les personnes qu’elle côtoie. Il ne s’agit pas seulement de la perception d’un partenaire, mais de la connaissance de la façon dont une autre personnalité perçoit son adversaire. L’interconnexion est une sorte de phénomène miroir. Son essence est une représentation systématique qui symbolise le monde intérieur de l’interlocuteur. Il convient de noter que la première essence est également imprimée sur ce monde intérieur.
Utilisation de l’autoréflexion en médecine
L’autoréflexion contribue au développement de la capacité du médecin à soigner ou à conseiller. Elle comporte les qualités suivantes
- Elle permet de ressentir et de contrôler plus précisément ses pensées. Elle confirme l’existence d’une relation avec l’autoréflexion et l’autorégulation.
- Elle vous permet de juger de l’objectivité de vos jugements, de leur systématisation logique, de leur validité et de leurs schémas.
- Elle permet de répondre correctement à la majorité des questions qui se posent au cours de la pratique. Elles sont particulièrement pertinentes pour les difficultés d’interaction avec les patients. Sans l’utilisation de l’autoréflexion, elles restent incertaines et non résolues.
Avec une attitude réfléchie et rationnelle, l’autoréflexion ne joue pas seulement le rôle d’un instrument destiné à faciliter la perception du patient dans le cadre d’une interaction ou d’une approche clinique visant à résoudre ses problèmes. Elle devient une pratique de «supervision», permettant de comprendre et de résoudre les nombreuses difficultés rencontrées dans l’interaction avec le patient au cours du processus de conseil.
L’autoréflexion en pédagogie
Tout en travaillant avec l’enfant, l’enseignant analyse son comportement au stade de la planification du processus de l’une des personnes impliquées dans cette interaction. Au cours de l’autoréflexion pédagogique, l’enseignant examine ce qui se passe du point de vue de ses collègues et de ses élèves. Il étudie également ses activités personnelles à la lumière de situations et de techniques pédagogiques spécifiques et s’identifie à la nature de l’interaction pédagogique.
L’autoréflexion dans l’économie
L’autoréflexion offre aux individus la possibilité d’explorer et d’analyser leur monde intérieur, de révéler des possibilités cachées et de préciser leurs compétences psychologiques personnelles. L’originalité d’un tel phénomène réside dans le fait qu’à travers l’autoréflexion, un individu peut accepter ou non des traits psychologiques personnels et des possessions.
L’autoréflexion dans l’économie est interprétée comme le fait que les individus se reflètent eux-mêmes dans un système particulier de connaissances mathématiques par le biais de la conscience et de la connaissance de soi.
Conclusion.
L’autoréflexion aide les individus à améliorer leurs capacités et leurs compétences et à évaluer leur efficacité. L’essentiel est de formuler des questions positives concernant son comportement. Il s’agit ensuite d’évaluer s’il existe des moyens plus efficaces d’y parvenir à l’avenir.
L’autoréflexion est inhérente non seulement aux aspects bénéfiques et moteurs concernant la pensée et la conscience de soi, mais aussi aux facteurs de communication. Elle permet de se percevoir et de se comprendre comme une personne qui interagit en permanence avec les autres et qui remplit une fonction créative dans le cadre de son développement personnel.