Paresse, paresse et procrastination : quelles sont leurs différences et comment s’en débarrasser ?

Quelle est la différence entre la paresse et la procrastination ? Premièrement, il s’agit d’un mécanisme de protection du psychisme, deuxièmement, il s’agit d’une habitude et troisièmement, il s’agit d’un mode de vie. Cependant, ce n’est pas la seule différence, car outre les différences, il y a aussi des similitudes. De plus, ces phénomènes se retrouvent souvent ensemble. Une analyse plus détaillée du moment où ces États s’approprient des personnes et de la manière dont ils s’en débarrassent sera présentée.

Principales différences.

Différences entre procrastination et paresse

La déréliction consiste à refuser d’accomplir une tâche. La dé-abolition remplace une tâche par une autre et, par la suite, il s’agit d’un cas de report. Par exemple, si un free-lance ne veut pas commencer une commande et qu’il se retrouve rapidement avec un grand nombre de cours «urgents» (nettoyage, sport, courses, etc.), il s’agit de procrastination. S’il se trouve dans un autre état, le même free-lance ne fait rien — il s’allonge sur le canapé, regarde un film pendant que la période de commande se consume et que la poussière dans la maison s’accumule davantage.

La paresse est donc un état passif et la procrastination un état actif. Dans le premier cas, la personne ne prévoit même pas d’accomplir la tâche. Dans le second cas, elle prévoit de le faire, mais plus tard. Souvent, ce «plus tard» n’est pas entièrement défini.

Que faut-il retenir de la différence entre la paresse et la procrastination ? Cette dernière est toujours associée à des émotions négatives, alors que la première ne provoque pas de sentiments désagréables chez une personne. Au contraire, lorsque la paresse iness est activée comme un mécanisme de protection contre le surmenage, elle aide à se détendre, à se débarrasser des choses inutiles et à se relaxer.

À NOTER ! Avec la paresse, une personne refuse de travailler et ne ressent pas d’inquiétude, de culpabilité ou d’autre malaise. Dans un autre état, elle remplace une chose par une autre et s’en inquiète.

Quand le paresseux et la procrastination maîtrisent une personne

Les états attaquent la personne à différentes périodes du processus et de l’exécution des tâches. La paresse est vaincue au moment où la personne prévoit de commencer à travailler sur sa mise en œuvre à partir du moment optimal, c’est-à-dire le moment où la personne paresseuse remarque le problème mais refuse de le résoudre. La tricherie s’attaque à la solution directe du problème et à la planification de la résolution du problème.

En d’autres termes, les différences sont minimes, mais elles sont les suivantes.

  • Dans le laz laz, il s’agit de décider de ce qu’il faut faire du problème.
  • Dans la procrastination, la personne prend une décision mais reporte la mise en œuvre elle-même.

Procrastination : premiers soins

Le principe de la capture de la personne est expliqué plus en détail par l’un des états du livre «Point d’exclamation : premiers secours». Les auteurs sont les psychologues Tanya van Essen et Henry Schwember. Ce sont ces chercheurs qui ont réalisé une analyse comparative détaillée des concepts, révélant les similitudes et les différences entre les phénomènes.

La clé ! L’extrait est la stagnation entre l’intention et l’action. L’échec est la stagnation entre la définition d’un problème et la formulation d’intentions quant à sa solution.

Les causes.

Les deux états sont liés au problème de la motivation, mais il s’agit de problèmes légèrement différents.

  • La paresse est causée par un manque de motivation ou sa faible gravité («oui, il semble que je pourrais le faire, mais non»).
  • La motivation est due à une contradiction dans la motivation (d’une part, la personne a besoin de faire quelque chose. D’autre part, elle ne veut pas le faire).

En règle générale, dans les cas de procrastination, il y a une lutte entre les motivations externes et internes. Toutefois, les motivations internes d’un individu peuvent entrer en conflit les unes avec les autres.

Signes.

Comment comprendre ce qui vous emporte : la paresse, l’inaction ou la procrastination ? À première vue, les états semblent être les mêmes. Dans la pratique, cependant, les différences sont plus nombreuses.

  • Le «rien» ;.
  • Aversion pour l’action.
  • Détente et tranquillité totales.

Culpabilité.

  • Mise en œuvre active d’autres dossiers.
  • Désir de réaliser les plans plus tard.
  • Culpabilité et anxiété.

Comme vous pouvez le constater, il s’agit de deux états complètement différents.

Comment lutter contre la paresse, l’inaction et la procrastination ?

Nous avons donc déterminé que ces états ont des causes et des points d’apparition différents. Cela signifie qu’il existe différentes manières de les combattre.

Groupes de soutien

Pour se débarrasser de la paresse, il faut augmenter sa motivation personnelle.

  • Il faut se forcer à désirer, à influencer les émotions et à se référer à d’autres besoins pertinents (sachez ce qui peut vous accrocher au cas par cas).
  • Dressez une liste des privations que vous vous imposez si vous refusez de porter plainte.
  • Trouvez un groupe de soutien ou déclarez publiquement vos intentions.

Mieux encore, ne vous forcez pas à faire quoi que ce soit d’inintéressant. Utilisez cet état comme un indicateur du bien-être personnel et de la réalisation de soi. Par exemple, la paresse dans la recherche peut être liée à une profession mal choisie. Cela vaut la peine de changer de profil de formation et de disparaître tout seul.

Comment lutter contre la procrastination ?

  • Créez un planning et un emploi du temps.
  • Procéder à une répartition des priorités.
  • Créer une hiérarchie des motivations.
  • Fixer des objectifs et des sous-tâches.
  • Effectuer un exercice de gestion du temps.
  • Analyser les raisons pour lesquelles les tâches sont retardées.

Comme pour la paresse, cet état peut être utilisé comme un allié. Il peut également indiquer des problèmes de vie, vous aider à choisir la bonne voie et révéler votre potentiel personnel.

Conclusion.

Nous connaissons maintenant la différence entre la paresse et la procrastination : dans le second cas, on ne peut pas se forcer à faire quelque chose, car il s’agit d’un conflit intrapersonnel. Dans le premier cas, il s’agit uniquement de motifs personnels, c’est-à-dire d’un manque d’intérêt pour quelque chose. La procrastination est parfois associée au fait qu’une personne ne comprend pas la motivation personnelle ou le sens de la réalisation d’une action, mais ce n’est que l’une des raisons possibles de la manifestation du symptôme.

Date de la dernière mise à jour: 11-18-2023